samedi 13 novembre 2021

5. Pourquoi introduire le Mal dans l'école

Le Mal comporte ou transporte avec lui, une INTENTION, à travers le temps et l’espace, les individus et les sociétés.

Pourquoi ? Laquelle ?

Aucune idée.

J’en ai parlé dans un article sur le droit de l’élève à ne pas savoir. Pour un ingénieur en civilisation, c’est à la fois un droit et un devoir. Quand on ne sait pas, ON NE SAIT PAS.

Quand on cherche en se servant du cerveau ou du mental, c’est très dangereux, car il est très facile d’imaginer des données pour combler le manque. On ne peut pas déterrer de telles données par le raisonnement.

4.Role of the civilization engineer corps

Imaginons que nous soyons environ 1000 ingénieurs en civilisation/dianétique par continent sur la Terre. Lorsque l'un d'entre eux observerait une importante anomalie dans la société, un peu comme ce que j'ai fait dans le dernier article sur la torture pratiquée à l'école, il serait bien sûr diffusé à tous les autres ingénieurs en civilisation.

Pourquoi ?

Parce que la première chose à faire est d'en vérifier la véracité. Pour une seule personne, c'est une tâche trop ardue. Il faut enquêter, collecter des informations auprès des gens, des étudiants et des enfants ;

Vous devez recueillir un grand nombre de données factuelles, toutes vérifiées, pour vous assurer qu'il existe une situation de torture à grande échelle.

Si c'est le cas, vous devrez l'écrire avec force détails pour que cela saute aux yeux, même des « aveugles ». Je veux dire qu'il serait impossible pour les gens de le nier et de nier son importance.

Nous pourrions également enquêter pour vérifier s'il s'agit d'une question internationale. Et ainsi de suite.

LE BUT DU CORPS DES INGÉNIEURS DE LA CIVILISATION EST DE RAMENER LA RAISON SUR TERRE.

Il s'occupe de VÉRITÉS. Il s'intéresse aux DONNÉES FACTUELLES IMPORTANTES.

Son travail consiste donc à déterrer les vérités derrière les rideaux et les ombres des « mensonges », des « fausses apparences » et autres déguisements et les « tout va bien » de la vie « normale ».

L'ingénieur en civilisation est attentif aux panneaux indicateurs du MAL et il REGARDE AU-DELÀ POUR DÉCOUVRIR LES FAITS ET LES VÉRITÉS SOUS-JACENTS.

vendredi 12 novembre 2021

3. Analyse de l'école, Partie 3, Remarques relatives à l’utilisation de la torture et de la douleur dans l’école

Définition du mot « torture »

Dictionnaire Larousse

1. Tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales sont intentionnellement infligées à une personne : Des aveux arrachés sous la torture.

2. Souffrance physique ou morale extrême : Cette longue attente était une torture.

vendredi 5 novembre 2021

2. Analyse de l'éducation, Partie 2, Les canaux de contact avec le savoir et les autres univers & Le droit de l'élève à ne pas savoir

 

 

Analyse de l’éducation

Partie 2

 

Les canaux de contact avec le savoir et les autres univers

 

Le droit de l’élève à ne pas savoir


 

Le droit de ne pas savoir


Définition de savoir :

Savoir consiste à acquérir ou à avoir acquis des données vraies, directement ou par l’intermédiaire d’un raisonnement.

1. Analyse de l'éducation, Partie 1, Principes et Définitions

  

 

Analyse de l’éducation

Partie 1

Principes et définitions



 
L’univers de l’individu, les univers extérieurs et les données


Avant d’aller plus loin dans le raisonnement et de démêler l’institution la plus importante de toutes, l’Éducation nationale, puisqu’elle forge le futur du pays par l’éducation de ses enfants, nous devons sortir du carcan de l’égalité.

L’égalité est un concept parfaitement valable dans l’univers physique, le matériel. D’un point de vue pratique (pas absolu), deux feuilles de papier format A4, d’une même ramette, sont égales. Si nous voulions savoir combien il y a de brins d’herbe au mètre carré dans une parcelle, nous considérerions que les brins sont égaux. Si nous calculions la densité d’une population, nous compterions le nombre de personnes au kilomètre carré d’un territoire. Nul besoin de faire une différence entre chaque personne ; il s’agit de corps humains lesquels font partie de l’univers matériel et ce calcul s’adresse à l’univers matériel.

Lorsque nous parlons société, citoyenneté, éducation, délinquance, et problèmes humains en général, nous nous adressons à autre chose : un ensemble d’univers associés, mais tous différents, et des données individuelles ou collectives. Nous ne sommes plus tout à fait dans le matériel, ou plus du tout d’ailleurs.

Nouvelle présentation et nouvel ordre des articles

Mille excuses pour mes amis lecteurs ! (valable pour les deux sexes)

J'ai planté ! J'étais arrivé au bout du raisonnement et je me suis retrouvé alité, malade et sans énergie. Bon, j'ai quand même un cancer et des chimios assez lourdes, alors ça plus l'énergie que cela me demande pour essayer de démêler le sac de nœuds qu'est la période post révolution au niveau des intentions (l'autre côté du miroir), bref, j'ai tout remis dans un ordre différent.

lundi 25 octobre 2021

18. Un drame qui aurait pu être évité

Il est probable que vous trouviez ces propos étonnants, hors de propos ou sans objectif évident.

Nous ne faisons pas ici de la philosophie. Nous analysons des données, des données installées il y a pas mal de temps et qui sont encore branchées dans les circuits de pensée de notre société (un peu le même effet que des virus qui seraient branchés de manière permanente dans les circuits de calcul d’un ordinateur (ou ses mémoires). La pensée agit de la même manière sur les humains, individus ou groupes (société).

Je vais vous donner un petit tuyau : si vous voulez avoir des raisonnements sensés, toutes vos données doivent être vraies. Vérifiez tout. Il est mieux de reconnaître qu’on n’est pas sûr ou qu’on ne sait pas, plutôt que de « croire » savoir.

Je vais vous donner un exemple dramatique. Cette semaine, une jeune fille de douze ans s’est suicidée ! C’est épouvantable. Mon Dieu, on ne se suicide pas à cet âge ! Ce n’est déjà pas normal de se tuer, mais à 12 ans !!!! Que s’est-il passé ?

Eh bien, elle se faisait harceler à l’école ! La démence des réseaux sociaux en action. La meute des petits salauds qui décident de broyer moralement l’un des leurs. Et sans raison aucune !

jeudi 21 octobre 2021

17. L’Amour, l’art de la paix et l’art de la guerre

Nous avons vu qu’un individu est un univers à part avec ses qualités propres, individuelles.

Imaginons que cet univers serait composé d’Amour. Nous aurions une unité vivante intelligente, capable de percevoir, d’acquérir des savoirs et d’échanger avec d’autres « univers ». La matière composante de cet univers, des autres univers, des perceptions et des échanges serait l’amour. On peut facilement ressentir cet amour dans les échanges avec une personne, un animal, une plante ou même du matériel. C’est comme une onde positive. Inversement, un univers peut ne pas aimer quelqu’un ou quelque chose et préfère ne pas avoir affaire avec.

Nous parlons ici de l’être humain, un individu doué d’empathie et de qualités reconnues et appréciées comme étant humaines. Nous ne parlons pas du monstre ou du psychopathe qui sont assez rares et dont nous ne savons rien sur la composante de leur univers. Nous avons des données sur leurs actions et leur manière d’exercer leur emprise sur leurs victimes. Malheureusement, ces données ne sont pas connues largement, ainsi peuvent-ils continuer à accumuler du pouvoir et à exercer leur influence sur un grand nombre de gens.

Revenons donc à la personne « humaine ». Nous pouvons postuler deux qualités ou capacités de cet univers, ou plutôt deux extrêmes de la même qualité d’amour : l’art de la paix et l’art de la guerre.

vendredi 15 octobre 2021

16. Les gens dangereux

Cela semble être une zone de problèmes récurrents et apparemment insolubles. Les hommes violents qui battent leur épouse, les racketteurs, les jeunes qui poignardent un autre pour un regard soutenu, ou une cigarette refusée, ou une histoire de priorité, les bandes qui tabassent un jeune isolé, des bandes de drogués hyperviolents qui hantent un quartier et empêchent les citoyens de dormir la nuit ou carrément de sortir, les vendeurs de drogue qui sont de véritables organisations munies d’armes de guerre, et ainsi de suite. Rien n’y fait, le problème persiste et empire, gouvernement après gouvernement. Dans les écoles, des bandes organisées brutalisent d’autres jeunes, ou revendent de la drogue sans que personne n’intervienne ou si peu. Ce qui est frappant c’est le fait que les seuls gens dangereux sont les gens mauvais, ceux qui font le mal. Les honnêtes gens, eux, ne sont pas dangereux.

Selon toute apparence, ces problèmes sont insolubles. Vu les moyens policiers déployés et les tribunaux surchargés, et étant donné que les policiers pourchassent les mêmes délinquants encore et encore après les avoir arrêtés, on peut se demander ce qui cloche. Apparemment, ces problèmes ne doivent pas être résolus. Le mot « résolu » dans ce cas signifie que chacun des problèmes disparaît et ne revient pas. Mais poursuivons.

De plus, ces bandes sévissent au beau milieu de barres d’immeubles abritant des milliers de gens. Disons qu’il y ait une cinquantaine de dealers au maximum dans un quartier contenant disons cinq cents hommes adultes et autant de femmes. Comment se fait-il que quelques dizaines de délinquants puissent faire chanter et terroriser dix fois plus d’habitants « normaux » ?

Si un problème persiste, que les solutions ne fonctionnent pas, c’est que ce sujet contient des données et principes faux.

mercredi 13 octobre 2021

15. Où allons-nous ?

Nous essayons d’obtenir un meilleur raisonnement humain, du point de vue d’un ingénieur ou comme un ingénieur le ferait. Et non, nous n’allons rien révolutionner dans la pensée humaine. Le sujet n’existe pas et nous ne voyons même pas pourquoi il y aurait un sujet de la logique. Sur Terre, les seuls progrès sont de l’ordre des sciences physiques. Certains humains sont capables de pénétrer les secrets de l’univers physique et d’utiliser ces découvertes sous forme de technologies. Celles-ci sont tellement bien conçues que la plupart des humains sont capables de s’en servir. C’est prodigieux.

Par contre, dans la plupart des civilisations, nous en sommes toujours à croire des choses vieilles de milliers d’années et à agir selon ces vieux principes. Aujourd’hui encore, comme au Moyen-âge ou à la Renaissance, nous pouvons être condamnés à mort pour oser remettre en question certaines croyances ou fâcher certains esprits.

Même sur le plan des sciences et technologies physique, des connaissances et découvertes qui auraient pu changer le sort écologique de la Terre ont été délibérément gardées secrètes pour ne pas nuire aux profits de quelques industriels et politiciens.

C’est le sujet des données et de la logique, l’aptitude humaine la plus avancée. Et c’est le sujet qui a été le plus réprimé et attaqué dans l’histoire humaine par des êtres qui n’avaient rien d’humain, mais qui disposaient du pouvoir de vie ou de mort, non seulement sur l’homme, mais bien pire, sur ses savoirs.

vendredi 8 octobre 2021

14. Diplômes

« Apprenti citoyen »

Ce 1er cycle est très important et il faut y passer le temps nécessaire. Dans notre nouvelle école, nous voulons former des citoyens, à la fois des citoyens de la communauté locale, régionale et nationale, mais également des citoyens de la Terre. Citoyen n’a rien à voir avec la couleur de peau ou l’origine. Citoyen veut dire essentiellement faire partie d’un groupe et faire corps avec ce groupe. C’est l’esprit d’équipe. On absorbe ses mœurs, sa culture, et c’est un exercice très délicat.

Nous l’avons déjà vu, un enfant est un univers qui vit au sein d’autres univers (ses parents, sa famille, leur culture, ses copains, son environnement, etc.). Lorsqu’il arrive à l’école, il a déjà des bagages en plus d’être un univers avec sa personnalité, ses émotions, ses qualités propres et aptitudes.

À ce premier niveau, l’élève apprend à traiter avec l’être humain, les autres enfants et les adultes. Eh oui, les relations humaines, la diplomatie, le savoir-vivre, la politesse, les bonnes manières. Il apprend à traiter et communiquer avec différents « publics », ses copains, les élèves en général, les professeurs, le personnel de l’école, le directeur, le personnel d’entretien des locaux, etc. C’est assez militaire, finalement, parce que l’enfant apprend à devenir un cadet. Il apprend des choses pratiques comme coudre un bouton, réparer une petite déchirure dans un vêtement, nettoyer ses chaussures, faire un nœud de cravate, laver un vêtement, entretenir son matériel scolaire, etc.

13. La refonte du système - réorganisation de l’école - les deux données clefs

Une fois que l’on a compris que les anciens principes fondateurs étaient faux avec des conséquences désastreuses, et que l’on a compris les nouveaux principes, la réorganisation est relativement facile et sans coûts supplémentaires pour l’État.

Un grand avantage pour le nouveau professeur

Que veut le professeur, l’homme ou la femme de terrain ? S’il a compris les nouveaux principes, il veut s’assurer que chaque nouveau professeur travaille en équipe sous la supervision bienveillante des anciens. C’est un devoir de cette noble profession. Ainsi, nous ne perdons pas de nouveaux venus au premier abord enthousiastes, mais se fracassant contre les violents remous d’élèves perdus et sans espoir de futur.

Donc, nous éliminons ce besoin idiot d’autorité. Le nouveau professeur va aider ses élèves, il va leur dispenser le savoir, mais cette fois, individuellement, au niveau de compréhension et d’aptitude de l’élève. Gros, gros, gros avantage.

Puisque nous éliminons l’organisation par tranches d’âge, tout comme les programmes scolaires collectifs, nous n’avons plus besoin de classes séparées et surchargées par la même occasion. L’avantage pour le professeur est qu’il peut travailler en équipe avec d’autres professeurs, notamment les nouveaux.

12. Le principe faux et la donnée fixe

Il est impossible de réformer une institution aussi « fixe » que l’école. Tous les gouvernements se cassent le nez sur ce « mammouth comme ils l’appellent. Pourquoi ? À cause du phénomène de l’idée ou de la donnée mal analysée, mais fixée fortement dans le « mental » des institutions.

Avez-vous déjà eu affaire à quelqu’un qui ne pouvait pas changer d’idée alors qu’il eut été logique qu’il change. Son idée fixe va l’amener à un désastre et il continue malgré vos exhortations.

Ce que l’on ne sait pas, c’est à quel point une idée peut être puissante et implacable. Elle peut guider une vie, un groupe, une institution et rien de ce que vous direz n’y fera. L’idée persiste.

Cette idée persiste parce que lorsqu’une personne, un groupe de gens ou une institution l’a adoptée ou a décidé de s’en servir, la raison était une question de vie ou de mort.

11. La méfiance envers les « masses »

L’un des postulats fondateurs de l’éducation nationale, telle que nous la connaissons aujourd’hui, est que l’enfant doit être soumis, guidé et modelé par les savoirs collectifs, via l’autorité du professeur, pour qu’il s’intègre dans la société ; le tout basé sur un postulat de méfiance envers « les masses » (le peuple vu du point de vue de l’élite).

Pensez-vous, quelques décennies avant l’invention de l’Instruction nationale, les « masses » avaient massacré et décapité en « masse » l’aristocratie et nombre de têtes pensantes qui en faisaient partie (pendant la Révolution française) Les autorités post-révolutionnaires, celles qui s’étaient arrogé le pouvoir, ne tenaient pas tellement à une nouvelle révolution. L’idée de l’éducation ou de l’instruction publique était très probablement d’installer fermement ces « masses populaires » sous l’autorité rigide et dogmatique de l’État par l’intermédiaire de la Loi. Et ça, ce n’est pas un postulat de confiance, loin de là.

Le problème est qu’il y a un mensonge : l’être humain n’est pas un bœuf qu’on attèle. L’homme pense et se révolte face à l’injustice et aux mauvais traitements, pas le bœuf.

10. Ouvrir des canaux entre la conscience ou l’univers personnel et l’univers extérieur

Prenons le problème par l’autre bout. J’avais proposé le remplacement de l’éducation ou de l’enseignement par l’entraînement. Il ne s’agirait plus de forger le savoir de l’enfant ou de l’élève, mais de lui donner les moyens de communiquer avec l’univers dans lequel il arrive.

Un univers conscient et sensible, prenant contact avec d’autres univers

Le nouveau-né arrive dans un monde inconnu ou presque. Il est sonné par l’expérience de la naissance, nous ne savons pas grand-chose sur lui sauf qu’il est vivant et un peu conscient. Lui, ne sait rien de l’univers qui l’entoure, nous l’appellerons « l’univers extérieur », proche ou éloigné. Il ne sait rien du temps passé, de l’environnement matériel, proche ou éloigné. En gros, il est vivant et n’a pas de données sinon les sensations de toucher du ventre de sa maman. Comme nous ne sommes pas dans sa peau, nous ne savons pas grand-chose sur ce qu’il ressent, sent ou perçoit. Quoique, si ça se trouve, il connaît tout le fonctionnement de l’univers entier, potentiellement, mais comme nous ne le savons pas, nous l’excluons du raisonnement (à tort peut-être ; l’idée vient de me venir à l’esprit). Peut-être après tout connaît-il tout, sauf les spécificités de la famille ou de la société dans laquelle il vient d’arriver. Ce n’est qu’une idée, mais pourquoi pas.

9. Le droit de ne pas savoir

Définition de savoir 

Savoir consiste à acquérir ou à avoir acquis des données vraies, directement ou par l’intermédiaire d’un raisonnement.

Perceptions procurant des savoirs

Les canaux connus des perceptions sont le toucher, le goût, l’odorat, la vue, l’ouïe. La raison est un autre canal qui procure indirectement des données.

Chacune de ces perceptions nous apportent des données, des savoirs.

Un cuisinier par exemple utilise principalement son odorat, son gustatif et son toucher. Il utilise la vue pour des choses comme la présentation des plats, bien que cette dernière ne soit pas nécessaire (il pourrait être non-voyant et faire un très bon cuisinier. Il distingue les différentes odeurs, goûts, textures, formes, poids, ce genre de choses.

Un musicien utilise son ouïe : harmonie, rythme, qualité des sons, hauteur (note), volume, etc. Le toucher également. Il utilise la vue pour déchiffrer les partitions, mais pas nécessairement. Il pourrait être aveugle et faire un très bon musicien, Ray Charles ou Gilbert Montagné, par exemple.

Un « nez » utilise son odorat pour sentir et tester différents parfums.

Un œnologue utilise son odorat et son goût pour tester et goûter les vins. Il utilise la vue pour observer les couleurs ou reflets des vins.

Tous utilisent à la fois les perceptions directes (les cinq sens) et le raisonnement. Tous ont affaire à des vérités (des faits observables par les sens et la raison).

Ces différents sens s’entraînent afin de distinguer les différentes caractéristiques de ces perceptions.

Nous voyons donc que « savoir » est très loin d’être limité à des notions écrites ou parlées sous forme de mots et de phrases.

8. Les mensonges et autres contre-vérités à la base de l'école

L’égalité : tous les enfants naissent égaux et avec les mêmes aptitudes. C’est faux.

Les enfants sont naturellement mauvais et violents : ils doivent donc être « éduqués » pour les rendre « sociables ». C’est faux. Seuls quelques-uns le sont.

Les « masses » : l’idée n’est pas exprimée, mais elle sous-entend que le peuple est une « masse » potentiellement violente à maintenir dans des limites. C’est faux. Le « peuple » est une invention tout comme l’idée de « masses ».  Il n’y a que des êtres, des univers indépendants qui s’associent pour différentes raisons, même s’ils sont en colère et se révoltent face à l’injustice.

L’obéissance et la punition : un ensemble de contre-vérités particulièrement vicieux parce qu’apparemment logiques.

Le professeur doit être autoritaire : c’est faux. Si le professeur connaît son boulot et aime partager le savoir, cette « autorité » naturelle est largement suffisante. L’enseignement a été comparé à une transe hypnotique selon laquelle, le thérapeute doit exercer une autorité sur son patient, sinon l’hypnose ne fonctionne pas. De plus, il n’y a pas besoin d’autorité si l’élève veut apprendre et peut se contrôler. Et s’il ne veut pas étudier ni s’autodiscipliner ce n’est pas un élève par définition.

7. La raison fondamentale de l’échec de l’école

Nous en venons à l’école et sa relation avec la création ou la préservation d’une civilisation. Si l’école fait mal son travail ou ne le fait pas, comme c’est le cas aujourd’hui, particulièrement dans une société aussi compliquée que la nôtre, nous allons au-devant de beaucoup d’ennuis.

Avant, il y a un siècle, le système scolaire était sélectif avec tous les défauts que cela comportait. Cependant, la société était organisée pour se charger de ceux qui tombaient du système scolaire. L’industrie pouvait absorber ceux, nombreux, qui avaient peu de connaissances ou de savoir-faire. De plus l’éducation était violente et la canalisation des instincts « inadaptés » se faisait par la douleur physique. Pour les autres, imperméables à ces méthodes « éducatives », il y avait la police et des institutions judiciaires extrêmement violentes. Il y avait très peu de « petite délinquance », car elle était immédiatement prise en main et écartée de la société civilisée. Il y avait des bandes, mais elles se battaient entre elles et ça ne débordait pas. Notre société à connu les bagnes, les galères, la guillotine, les passages à tabac dans les commissariats et ainsi de suite. Brutal, efficace, mais brutal !

6. Formule de l’apprentissage et de la citoyenneté

 Celle-là, je viens de la trouver !

1. AMOUR

2. CONTACT

3. CONSCIENCE

= APPRENTISSAGE

4. RESPONSABILITÉ

5. ACTION

= RAISON

Dans ces points, vous avez tout ce qu’il vous faut pour réformer totalement l’enseignement. Si vous avez bien compris le chapitre précédent sur les univers, vous voyez que chaque univers individuel est totalement différent de chaque autre univers. Par conséquent, comment un univers acquiert-il des données vraies ? L’éducation consiste à acquérir des données vraies, vérifiées, applicables.

Par conséquent, à partir de chaque personne, élève, enfant, adolescent, apprenti, nous retrouvons le même schéma ou principe d’apprentissage, mais différemment appliqué avec différents résultats.

Comme chaque enfant est totalement différent d’un autre et que chacun possède son propre univers, chacune de ces étapes prendra une forme différente, une durée et un rythme différent, un contact différent, des degrés d’amour différents et une conscience différente selon chacun. Par conséquent, la responsabilité de chacun et sa capacité à agir dans tel ou tel domaine ne peuvent être que différentes. La Raison sera différente selon chacun.

5. L’univers de l’individu, les univers extérieurs et les données

Avant d’aller plus loin dans le raisonnement et de démêler l’institution la plus importante de toutes, l’Éducation nationale, puisqu’elle forge le futur du pays par l’éducation de ses enfants, nous devons sortir du carcan de l’égalité.

L’égalité est un concept parfaitement valable dans l’univers physique, le matériel. D’un point de vue pratique (pas absolu), deux feuilles de papier format A4, d’une même ramette, sont égales. Si nous voulions savoir combien il y a de brins d’herbe au mètre carré dans une parcelle, nous considérerions que les brins sont égaux. Si nous calculions la densité d’une population, nous compterions le nombre de personnes au kilomètre carré d’un territoire. Nul besoin de faire une différence entre chaque personne ; il s’agit de corps humains lesquels font partie de l’univers matériel et ce calcul s’adresse à l’univers matériel.

Lorsque nous parlons société, citoyenneté, éducation, délinquance, et problèmes humains en général, nous nous adressons à autre chose : un ensemble d’univers associés, mais tous différents, et des données individuelles ou collectives. Nous ne sommes plus tout à fait dans le matériel, ou plus du tout d’ailleurs.

Un univers

Si les anciens avaient su ou voulu observer, ils auraient vu ou perçu qu’un individu n’était pas égal à son corps. Il suffit d’observer des bébés pour ressentir leur univers. Chacun émane quelque chose, une sorte d’énergie composée d’une certaine dose d’amour, de conscience, de pensée ou d’action de la pensée, quelque chose d’assez indéfinissable. En aucun cas ces univers sont-ils égaux. Chacun d’eux aura une vitesse d’évolution différente. Il peut y avoir quelques similarités de comportement, mais pas d’égalité. Nous pouvons voir à l’école que chaque enfant est différent de chaque autre enfant dans ses goûts, ses centres d’intérêt, ses aptitudes, ses vitesses d’acquisition des connaissances selon les matières, etc. Tout est différent chez chaque individu, bébé, enfant, adolescent ou adulte.

lundi 4 octobre 2021

4. L’homme-minerai

Nous arrivons à la fin de la première partie décrivant les conditions autoritaires de l’ère industrielle. Nous avons une erreur fondamentale commise à l’époque de la construction de cette société : l’égalité. Il y en a une autre qui complète le tableau. Je l’appelle l’homme-minerai.

Le creuset de notre société, du moins son organisation, est l’époque post-révolutionnairenotamment le dix-neuvième siècle, fortement marqué par l’industrialisation en plein essor. L’efficacité était le mot d’ordre avec une forte hiérarchisation de la société, avec des patrons, des cadres, des ingénieurs, des techniciens, des chefs, des ouvriers, etc. Et c’était brutal. On soumettait la matière et on la transformait, et tout était gigantesques, les hauts-fourneaux, par exemple.

3.L’égalité

 Une petite horreur qui provient des autorités postrévolutionnaires : les « sachants ».

Ils ont décidé que les bébés naissaient avec des droits égaux, une bonne décision, mais ils ont ajouté qu’ils avaient des capacités égales, ce qui était stupide. Le pire, c’est qu’ils ont basé tout le système éducatif sur cette donnée. Les « sachants » du dix-neuvième siècle ne pouvaient pas faire pire.

2. Autorité ou intelligence ?

Tous les systèmes, qu’ils soient éducatifs, religieux, politiques, administratifs, policiers, judiciaires, législatifs, punitifs ou autres, ont été créés pour résoudre des problèmes que les gens n’ont pas pu résoudre. Mais ça, c’est une apparence. Ces systèmes ont été créés pour empêcher les gens et les peuples de résoudre leurs problèmes.

Pourquoi y a-t-il des délinquants ? Parce que les gens n’ont pas pu résoudre le problème. Pourquoi y a-t-il des dealers et consommateurs de crack qui détruisent l’environnement et la vie des gens qui les côtoient ? Parce que les gens ne peuvent pas résoudre ce problème. Ils n’en ont pas le droit.

Pourquoi ?

dimanche 3 octobre 2021

1. Ingénieur en Informatique humaine

Avant-propos

Si les problèmes écologiques et humains que nous affrontons aujourd’hui ne vous concernent pas, si l’éducation des enfants vous semble sans intérêt, ne lisez pas ce texte.

Soyons lucides. Nous n’allons pas assez vite. Nous progressons, oui, mais l’ordre de grandeur des actions à entreprendre à l’échelle planétaire n’est même pas perçu. Juste, sortez de chez vous et regardez par terre. Je suis dans une ville plutôt « haut de gamme » en banlieue parisienne qu’est-ce que je vois ? Des mégots et déchets de toute sorte. Je ne vous dis pas l’état des lieux sur les bas-côtés des sorties de périphérique et d’autoroutes de la région. Malheureusement, c’est la réalité dans laquelle nous vivons.

Donc nous pouvons fermer les yeux et replonger dans notre inconscience collective ou bien ouvrir les yeux, confronter les faits et analyser les données.

Je vous jure que si vous suivez le raisonnement décrit dans ce livre jusqu’au bout, vous aurez une autre vision des défauts de l’Instruction nationale et de comment y remédier. Nous pouvons élever l’aptitude à penser.

Tout ce qui suit concerne l’élévation de la pensée humaine. Si nous élevons notre aptitude à penser et à résoudre les problèmes, nous parviendront également à résoudre les problèmes de réchauffement climatique, de pollution et de destruction générale de notre milieu : LA TERRE !

Si nous n’élevons pas notre aptitude à penser, je vous laisse imaginer ce qui va se passer, quoique cela soit probablement inimaginable.

Il n’y a pas de question à ce sujet. Donc, si ce sujet vous intéresse, même avec un vague espoir, ou même sans y croire, suivez-moi.

Introduction

Il s’agit du développement d’un cours sur un sujet qui n’existe pas : l’informatique humaine.

 L’informatique concerne le traitement de l’information ou des données par un ordinateur. 

L’informatique humaine est le traitement des données « humaines » par un mental ou esprit. Nous allons le traiter à la manière des ingénieurs, en triant des données.

Comme je ne m’adresse pas à une « élite » d’érudits, d’intellectuels ou d’enseignants et autres « sachants », je vais employer un langage simple. Je m’adresse aux gens du peuple en espérant que nous allons aboutir à une élévation.

Je m’adresse aux gens, ceux qui ont envie de savoir et surtout, ceux qui ont envie de savoir FAIRE, notamment dans le sujet des données humaines, de leur vérité, de leur évaluation, de leur classement, de leur traitement, etc. Ne vous inquiétez pas, je vais expliquer tout cela.

Il faut savoir que nous avons quitté ce que nous appelions l’ère industrielle. Il y a eu différentes périodes dans l’Histoire, l’évolution de l’Homme, notre évolution. Nous l’avons tous apprise à l’école, avec plus ou moins de succès. En gros, il y a eu des périodes brutales, faites de guerres et de conquêtes de territoires, le développement de l’agriculture, les constructions fortifiées, le développement des arts, de l’industrie, etc.

Il y avait deux races de gens « ceux qui avaient le pouvoir », avec une aristocratie qui gravitait autour, et les « administrés », autrement dit, ceux qui étaient dirigés, le peuple ou « les masses ».

5. Pourquoi introduire le Mal dans l'école

Le Mal comporte ou transporte avec lui, une INTENTION, à travers le temps et l’espace, les individus et les sociétés. Pourquoi ? Laquelle ...